Au départ d’État du Monde, Valérie Cordy est seule sur scène, face à son ordinateur relié à Internet. Au clavier, elle convoque des images présentées au public sur l’écran en fond de scène. Une vidéo de chats, une comptine terrifiante, un tweet grinçant sur les nouvelles mesures gouvernementales face à la pandémie… Les images, accompagnées des protagonistes, s’enchaînent, hétéroclites, tantôt familières, tantôt incongrues, toujours (d)étonnantes. Chaque spectacle est un processus participatif, construit autour d’une thématique singulière distincte.