Une création qui commence avec la volonté de transposer un matériel SCIENTIFIQUE et NEUROLOGIQUE en un langage SCÉNIQUE et POÉTIQUE, en s’inspirant librement du chapitre « Le marin perdu » du livre « L’homme qui prenait sa femme pour un chapeau », œuvre du neurologue et écrivain britannique Oliver Sacks (1933-2015).
Dans ce chapitre, un patient est bloqué dans le présent, en conflit avec sa mémoire : un passé figé qui ne se modifie plus avec le temps qui passe et un futur qui ne peut exister.