A propos
Au nom de la proseJames Deano coupe le câble de la télé pour mieux plugger celui de sa guitare. Dix ans à faire le malin dans Le Grand Cactus, ça laisse des séquelles. Et des anecdotes. Et des couplets. James Deano lâche le prompteur, jette le fond vert, et monte sur scène avec son instrument préféré.Dans ce spectacle mi-parlé mi-chanté, il rejoue ses débuts de rappeur, ses hits qui squattaient les terrasses (Les Blancs ne savent pas danser, Le fils du commissaire), et y ajoute des punchlines jamais diffusées en prime time. Et même quelques scuds à son patron préféré, Jérôme De Warzée.Festif, parfois plus tendre, souvent très drôle, cet homme est un couteau suisse, mais avec un micro au bout. De et avec James DeanoCréation lumière Nicolas CeuppensCoproduction LVAH, Com’ des Demoiselles, James Deano et Théâtre de la Toison d’Or© Photo Lou Verschueren